Et si notre tendance à détruire “la nature” venait de notre peur du sauvage.
De notre peur de notre propre animalité.
En effet, si nous essayons de contrôler, dominer, maîtriser, gérer, cette nature c’est parce qu’elle fait écho à ce qu’il y a de sauvage, d’indomptable, d’instinctif, de naturel en nous.
Et ça nous terrifie.
Nous tentons désespérément d’avoir le contrôle sur ce qui nous est extérieur pour éviter de nous confronter à notre intériorité.
Dominer la nature, la soumettre, c’est essayer d’étouffer la part instinctive, intuitive, sauvage en nous.
Ce qui me semble évident aujourd’hui, c’est que nous ne changerons pas le monde si nous ne changeons par notre rapport à notre monde.
Questionner notre lien au vivant me semble essentiel.
Se (re)penser comme un simple élément d’un ensemble d’êtres vivants avec lesquels nous sommes en interaction également.
Une très belle affiche en quantité très limitée, poétique, nature, sauvage à offrir, à s’offrir à partager, à afficher ! Evidemment !
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